Doggy Radio .TP.

20.00 

Frais d’envoi offerts jusqu’au 26 mars 2021 (sortie officielle)
(Réédition 2021 / Médiapop Records – Eyes Minded Records)

L’album de Doggy Radio TP est sorti une première fois en CD le 8 mars 2019 sur les labels Indiepop Kocliko Records (Espagne) et Jigsaw Records (USA).

Il a été si bien accueilli dans le petit milieu de l’internationale Indiepop que les exemplaires physiques sont très vite venus à manquer après quelques articles et mentions dans diverses listes. Fini, épuisé…

L’affaire aurait pu s’arrêter là, mais les membres de Doggy tenaient absolument à ce que les chansons de cet album si réussi, les premières enregistrées en groupe, aient droit à une deuxième vie et sortent enfin en vinyle.

De quoi s’agit-il ? « Il s’agit de pop, dans ce qu’elle a de plus mélodique et de plus astucieux. En français, car les images sont plus faciles à faire naître, et on peut plus facilement faire de longues phrases avec de longs mots. Avec des instruments acoustiques, électriques, et sans assistance informatique, car on arrive plus facilement au son qu’on a dans la tête. »

Doggy vient de Limoges et est composé de : Guillaume Bassard (chant, guitare, trompette, basse, claviers), Stéphane Balanche (batterie, percussions), Pierre Escarguel (claviers, basse, guitare, chœurs), Stéphane Pomedio (basse, guitare, choeurs).

Cet extrait d’article, paru lors de la première édition, résume assez bien l’album et Doggy :

« Doggy récite son bréviaire par coeur, appelez ça comme vous voulez, règles de la twee pop, grammaire de l’anorak pop, ou clichés de la French pop, si vous voulez. Mais peu importe, car au final, il s’agit de très belles chansons, tout simplement, pleines d’hameçons mélodiques acérés : les refrains souvent désarmants rattrapent la liberté chaotique de certains couplets ; des arrangements discrets (un synthétiseur par ci, une trompette par là aménagent ce qu’il faut de surprises et de clins d’oeil aux maîtres étalon de la filière (Brilliant Corners, Field Mice, Sugargliders, Orchids…) pour décrocher définitivement la timbale et atteindre une sorte d’accomplissement du style, imparable…

… ce n’est pas la moindre des qualités d’un disque que d’exciter l’imaginaire, d’ouvrir des autres dimensions à l’écriture en français si particulière de Doggy, cette façon de faire cavaler les syllabes sur des rythmiques enjouées, de développer des phrases à rallonges sans altérer la légèreté mélancolique de l’ensemble. De cette poésie du réel (travail, hôpital, marché, solitude, campagne, amours éternelles sans fin et sans séparation, ou si, un peu), naîtrait enfin une reconnaissance méritée de par chez nous, avec, enfin posée sur la carte, la ville de Limoges, comme pourvoyeuse de cette pop si particulière. » Renaud Sachet – Section 26 / juin 2019.

Cette réédition par Eyes Minded Records et Médiapop Records comporte un morceau bonus qui ne figurait pas sur le CD : La crypte de l’Empereur David.

MPR 029 – Doggy – Radio .TP.

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